Pourquoi et quand consulter un psychologue ?
Consulter un psychologue : un acte de liberté !
Les personnes qui décident de consulter un psychologue et de venir à ma rencontre n’ont pas toutes un « problème psychique », mais ressentent dans leur vie quotidienne des difficultés, parfois envahissantes, qui les amènent à se confier, se libérer, chercher écoute et soutien, dans un cadre bienveillant, neutre et sans jugement, que des symptômes physiques ou psychologiques soient déjà présents ou pas.
Alors si vous êtes un adulte, un adolescent, un parent, un professionnel, un proche d’une personne malade et que vous êtes concernés par :
- L’angoisse, le stress, un manque de confiance en soi, le fait d’être triste, irritable, hypersensible, déprimé, épuisé ou de se sentir débordé, dépassé par une situation avec décision importante à prendre, avec le besoin ou l’envie d’en apprendre plus sur soi
- le deuil, la maladie pour vous-même ou un proche, une séparation, des problèmes relationnels, des conflits au travail, une histoire familiale complexe que vous ne voulez pas se voir reproduire.
Si votre famille traverse une crise, des disputes régulières, des difficultés à communiquer, un bouleversement (deuil, séparation, maladie) et que vous souhaitez renouer le dialogue, dépasser cette situation de crise ou encore trouver un nouvel équilibre dans la famille, n’hésitez pas à consulter un psychologue pour vous confier. Contactez-moi pour prendre rendez-vous à Mazé.
Être entendu en confiance permet de clarifier ses idées et de progresser. L’apport du psychologue est alors de guider votre réflexion personnelle, de faire prendre conscience des véritables difficultés masquées, d’accompagner pour trouver ses propres réponses, de mettre en lumière et renforcer ses potentiels, capacités et ressources, de se redécouvrir afin de s’adapter, de se positionner différemment pour trouver sa place, et aller de l’avant dans une perspective optimiste.
Préjugés et méconnaissance autour de la psychologie
Préjugés et méconnaissance entourent encore souvent la psychologie, et pour causes :
L’histoire de la psychanalyse et de la psychologie, qui ont révolutionné la conception du psychisme avec la découverte de l’inconscient, ne figure toujours pas dans les programmes scolaires. La « folie » n’existe plus depuis que la psychiatrie a su poser les diagnostics qui rendent compte de troubles de la personnalité.
Si l’OMS inclut dans sa définition de la santé un état de complet bien-être mental, qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie, il y a peu de programmes de prévention. Ainsi prévenir certaines maladies est chose admise, alors que l’on se rapproche bien souvent d’un psychologue que lorsque l’on se sent suffisamment mal pour franchir le pas. Le temps perdu pour aller mieux ou encore mieux ne se rattrape pas. Chaque année il est déploré que la France soit le premier pays consommateur de psychotropes, mais les consultations sont paradoxalement peu remboursées. La place de la souffrance psychique souvent débattue dans les médias est mal reconnue dans les faits.
L’accès à la psychologie se voit parfois taxé, d’aveu de faiblesse, de mode ou encore d’inefficacité puisque « cela ne changera pas la réalité ». C’est ignorer les capacités de l’être humain à s’adapter à « l’inacceptable ».